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Archive pour le mot-clef ‘lutte contre la solitude’

Seniors, 5 conseils pour ne plus être malades en hiver

mercredi 9 janvier 2019

L’épidémie de grippe est arrivée! Entre les rhumes, les angines et les bronchites, ça ne s’arrête pas! Si vous en avez assez de tomber malade en hiver, suivez les conseils suivants :

  1. Buvez beaucoup !

Les seniors qui veulent se protéger du froid, ont tendance à rester chez eux en hiver. De fait, ils respirent de l’air sec, surtout à l’intérieur des maisons.  De plus, la sensation de soif diminuant avec l’âge, il arrive souvent que les personnes âgées soient déshydratées. Pour contrer ce phénomène, il faut régulièrement,  boire beaucoup d’eau, en petite quantité (entre 1,5 et 2 litres par jour). Pour ceux qui n’aiment pas l’eau, il est possible d’alterner les liquides en en buvant également du thé, des infusions et de la soupe.

2. Utilisez un humidificateur!

Pour lutter contre ce phénomène d’air trop sec dans les maisons fermées, vous pouvez installer un humidificateur d’air couplé à un diffuseur d’huiles essentielles à base d’eucalyptus, de thym ou de benjoin. Vous pouvez vous procurer celles-ci en pharmacie ou dans les magasins spécialisés. Si vous ne voulez pas investir dans un humidificateur, vous pouvez tout simplement déposer des récipients pleins d’eau à côté de vos radiateurs ou chauffages.

3. Prenez des vitamines!

Elles sont très utiles pour résister au froid. La vitamine C, par exemple, permet également de repousser les infections. Vous pouvez acheter ces vitamines en pharmacie mais rien ne vaut la méthode naturelle: les kiwis et les oranges. Ces fruits contiennent beaucoup de vitamine C mais ils ne sont pas les seuls; certains légumes comme le persil, les choux (le brocoli surtout) et le poivron en contiennent aussi. Attention toutefois à ne pas dépasser la dose recommandée, à savoir 110 milligrammes ou 2 oranges par jour pour un adulte.

4. Misez sur les oligoéléments!

Le zinc et le sélénium. Ces deux oligoéléments sont indispensables pour rester en bonne santé pendant l’hiver. En effet, une carence en zinc expose aux infections respiratoires et aux rhumes.  Pour faire le plein de cet oligoélément, vous pouvez consommer des huîtres, des viandes, des poissons, du pain complet, des lentilles ou des légumes verts. Le sélénium et le magnésium peuvent également vous aider à rester en bonne santé en hiver. Vous pouvez trouver ce dernier dans le thon, le foie de veau et les moules cuites à l’eau. Quand au magnésium, il y en a dans les amandes et le chocolat noir.

5. Sortez prendre l’air!

Ce conseil est très simple mais il est important! Il faut absolument profiter de la lumière du soleil, même en hiver. Cela diminue les risques de dépression. De plus, respirer régulièrement de l’air frais et faire de l’exercice, sont des habitudes qui contribuent à avoir une bonne hygiène de vie.

La plateforme bénévolat Retraite Plus : Un nouvel outil pour les rencontres intergénérationnelles.

mercredi 25 avril 2018

Notre société connaît de plus en plus de problèmes de solitude, surtout en ce qui concerne les personnes âgées n’ayant pas eu d’enfants. Pour lutter contre ce fléau, l’organisme Retraite Plus a mis à la disposition de tous, une plateforme de bénévolat, un site de « rencontre éthique et sociale » pour favoriser et susciter les liens entre jeunes volontaires et retraités demandeurs.

Comment ça marche ?

En quelques clics seulement, vous avez accès à des annonces de seniors qui recherchent de l’aide ou de plus jeunes volontaires qui cherchent à proposer leur aide pour un trajet en voiture, faire de petites réparations, tondre les pelouses ou bien aider à apprendre les rudiments de l’informatique. Il est même possible de trouver des seniors souhaitant tout simplement qu’on leur rende visite pour adoucir leur solitude.

Si vous désirez proposer vos services, il vous suffit de vous rendre sur la plateforme bénévolat de retraite plus à l’adresse suivante : https://www.retraiteplus.fr/benevoles
Vous choisissez la rubrique qui vous intéresse : « je veux aider » ou bien « je veux être aidé » et vous postez votre annonce. La mise en contact se fait via des messages privés et les services proposés sont totalement bénévoles et gratuits.

Le but : s’entraider pour mieux vivre ensemble

La plateforme sécurisée est conçue dans une approche éthique et a pour but de favoriser les échanges intergénérationnels pour lutter contre la solitude sociale grandissante des âgés. Car on le sait, le mental affecte l’état de santé des êtres humains. Cela a même été prouvé par une récente étude déclarant que l’isolement, surtout chez les personnes âgées, peut accroître le risque de mortalité prématurée de 14%. La solitude chez les personnes âgées  pouvant entraîner une insidieuse dépression, qui pourrait générer chez le sujet âgé, des envies de suicide surtout après le décès d’un proche. Souvent, il s’installe également chez la personne, un sentiment d’inutilité et surtout une perte de l’envie de vivre.

Pour participer à ce réseau social solidaire, rendez-vous sur la plateforme de bénévolat de Retraite Plus.

Se sentir plus jeune que son âge est positif!

mercredi 14 mars 2018

C’est suite à des résultats de recherche publiés dans la revue Frontiers in Psychology, que la question s’est posée: Quel âge ressentez-vous avoir réellement? La réponse à cette question est importante car elle dirigera votre façon de penser et surtout votre comportement face à l’avancée en âge.

L’âge perçu est avant tout dans la tête

C’est ce qui ressort des nombreuses études sur le sujet. En effet, les scientifiques s’intéressent de plus en plus à cet âge dit « subjectif », car  celui-ci influencerait la longévité des personnes âgées. Effectivement, il apparaît, selon les résultats de différentes études sur le sujet, que jusqu’à l’âge de 30 ans, les sujets interrogés ressentent avoir leur âge réel voire plus pour un certain pourcentage d’entre-eux (environ 3 ans de plus à 20 ans pour la moitié des gens).Toutefois, après 30 ans, la majorité d’entre eux déclarent avoir une perception ralentie de leur âge. Après 50 ans, c’est le phénomène inverse qui se produit : la plupart des personnes interrogées disent avoir l’impression d’avoir dix ans de moins.

A 80 ans, le décalage se réduit 

Arrivés au grand-âge et rattrapés par les maux de la vieillesse, les sujets disent de nouveau ressentir avoir leur âge réel. Toutefois, d’après les chercheurs, ce décalage ressenti à partir de la trentaine, a son avantage puisqu’il conditionne notre perception de la vie. Une personne de 75 ans se sentant jeune, participera à plus d’activités, fera du bénévolat et créera plus de relations avec son entourage puisqu’elle se sentira encore utile et comme faisant encore partie de la société. Au contraire, une personne du même âge mais qui est persuadée d’être trop vieille pour sortir ou pour participer à certaines activités, aura tendance à se fragiliser et à rester à chez elle, ce qui précipitera son vieillissement.

 «J’ai quatre fois vingt ans»

C’est ce que répondait le publicitaire Jacques Séguéla, lorsqu’on lui demandait son âge car l’âge perçu est avant tout et surtout dans la tête! D’ailleurs, l’ex-ministre Michèle Delaunay voulait bannir le terme vieillesse et personnes âgées de la langue française! En effet, l’ancienne  ministre aux personnes âgées et à l’autonomie avait, en son temps, annoncé vouloir éliminer ces termes de tous les documents officiels. Elle proposait de le remplacer par « avancer en âge ». D’après elle, ce changement de vocabulaire aurait permis d’éliminer la connotation péjorative associée à la vieillesse et aux personnes âgées. Surtout que comme le dit l’adjointe au maire du Havre, Valérie Egloff : «Vieillir n’est pas une malédiction, mais la bonne nouvelle que l’on est toujours en vie».

 

Aidants : Connaissez-vous le guide pratique sur la maladie de Parkinson?

mardi 21 novembre 2017

Edité par l’organisme de conseil et d’orientation en EHPAD Retraite Plus  et écrit en collaboration avec France Parkinson, ce guide pratique s’adresse aux aidants de malades atteints de Parkinson.

Un guide clair et détaillé

Dans ce guide clair et détaillé, notre partenaire Retraite Plus vous dit tout sur la maladie de Parkinson. Cette maladie neuro-dégénérative d’évolution progressive, concerne aujourd’hui  4 millions de personnes dans le monde dont plus de 150 000 Français. Gestes incontrôlables, épisodes de tremblements et mouvements saccadés. Ne plus pouvoir tenir sa tasse de thé sans la renverser, avoir du mal à écrire ou des difficultés à se déplacer…tous ces symptômes sont caractéristiques de la maladie de Parkinson.

De la difficulté d’être un aidant Parkinson

Avoir à sa charge, un proche atteint de la maladie de Parkinson est une épreuve difficile à tous les niveaux.  Physiquement et psychologiquement, la résistance de l’aidant est, tous les jours, mise à l’épreuve. Par ailleurs, les malades de Parkinson ont tendance à déprimer lorsqu’ils sont confrontés aux limitations que leur impose leur maladie. Très angoissés, ils se replient sur eux-mêmes  et refusent de communiquer. Une situation très difficile à vivre pour leur entourage. Plusieurs associations se spécialisent dans l’assistance aux aidants. Elles ont pour but de leur apporter tous les renseignements nécessaires à la prise en charge de ces malades. Néanmoins, au fur et à mesure de l’évolution de la maladie, les aidants se sentent dépassés.

Des EHPAD spécialisés Parkinson

Heureusement, il existe aujourd’hui des établissements  qui se spécialisent dans l’accueil et le suivi des personnes âgées atteintes de la maladie de Parkinson. Ces maisons de retraite ou EHPAD, spécialisées dans la prise en charge de cette pathologie, offrent toutes des infrastructures adaptées à la prise en charge de ces patients. Tous les jours, les conseillers en gérontologie de Retraite Plus sont sollicités par des familles qui recherchent une maison de retraite Parkinson répondant à leurs exigences. Chaque fois, ses conseillers en gérontologie s’appliquent à rechercher, y compris dans l’urgence, des établissements de qualité capables d’accueillir et de prendre en charge médicalement et socialement des malades atteints de Parkinson. Et ce quel que soit leur état de santé et de dépendance, leur région mais également leur budget.

Pour consulter gratuitement le guide Parkinson de Retraite Plus, cliquez ici.

Les aides à domicile sont-elles un facteur d’isolement?

jeudi 9 mars 2017

Bien qu’indispensables pour permettre à une personne âgée de rester à son domicile plutôt que d’être hébergée en maison de retraite, certaines des  aides à domiciles peuvent également se révéler être des facteurs d’isolement. En effet, certains services, comme le coiffeur à domicile par exemple, peuvent renforcer  l’isolement. La personne âgée perd l’habitude de sortir de chez elle pour se rendre dans un salon de coiffure. Elle perd certaines occasions de renforcer son lien social. Même chose pour les services de livraison des courses…

La confiance : un élément déterminant dans la lutte contre l’isolement des personnes âgées

A la lumière des différentes arnaques perpétrées sur des personnes âgées, celles-ci sont devenues soupçonneuses. Effectivement, 65 % des personnes âgées isolées pensent qu’on n’est « jamais assez méfiant vis-à-vis des autres », cela limite donc fortement leurs pratiques collaboratives (échange de service, de savoir, de covoiturage…). Cette méfiance presque généralisée devient alors un problème autant du point de vue du maintien à domicile que du placement en maison de retraite. Comment s’entourer des personnes de confiance quand on désire rester chez soi ? Comment choisir sa maison de retraite dans l’inconnu ?

Une mobilisation citoyenne pour favoriser les liens inter générationnels et intra générationnels 

73% des Français jugent que la population dans son ensemble n’est pas suffisamment attentive à la solitude de ces concitoyens isolées ;  7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisée sur cette question, la laissant aux associations et aux fondations. Il en va donc du ressort de chacun de lutter contre l’isolement des personnes âgées. La Fondation de France, par exemple, accompagne chaque année 1000 initiatives pour environ 15 millions d’euros (aménagement d’un quartier « multi-génération » dans la ville de Saint-Apollinaire ou encore les Réveillons de la Solidarité, dont le but est d’instaurer un lien durable…). il y a également la fondation MONALISA qui a mis en place une « équipe citoyenne MONALISA » composée de citoyens bénévoles qui s’associent pour agir ensemble contre la solitude et l’isolement social des personnes âgées dans leur quartier, ville ou village.

Cancer de la prostate : les questions fréquemment posées

jeudi 18 février 2016

vieux canneComment est-il possible de dépister le cancer de la prostate?

Le diagnostic du cancer de la prostate se fait par dosage du PSA, un antigène spécifique. Si plusieurs examens donnent un dosage de PSA   trop élevé, le médecin peut demander à faire une biopsie.

Existe-t-il certains facteurs de risque favorisant l’apparition du cancer de la prostate?

Oui en effet, divers facteurs peuvent diminuer ou augmenter ces risques. Selon les scientifiques ces facteurs de risque seraient : l’âge, les antécédents familiaux, l’origine ethnique, la géographie, le poids corporel, l’inactivité physique et l’alimentation.

Quelle est la place du régime alimentaire par rapport au cancer de la prostate?

Le régime alimentaire et le mode de vie seraient des facteurs cruciaux dans le développement du cancer de la prostate. Les hommes ayant un régime trop riche en matières grasses seraient plus susceptibles d’être atteints d’un cancer de la prostate.

Quels sont les symptômes d’un cancer de la prostate au stade avancé?

Le stade avancé du cancer provoque différents symptômes comme une douleur sur la colonne vertébrale, une douleur à la miction, une émission d’urine fréquente, de la douleur à l’éjaculation, la présence de sang dans l’urine ou le sperme ou de la douleur dans le bas du dos, les hanches ou le haut des cuisses.

Existe-t-il un traitement efficace contre le cancer de la prostate?

Lorsque le cancer est encore circonscrit à la prostate, plusieurs traitements sont proposés : d’abord la surveillance active pour vérifier que le cancer ne progresse pas, des médicaments anticancéreux, des analgésiques et enfin la radiothérapie. Elle consiste à détruire les cellules cancéreuses au moyen de radiations.