Remplissez ce formulaire,
une conseillère vous aidera
dans les meilleurs délais !

    Warning: simplexml_load_file() [function.simplexml-load-file]: SSL operation failed with code 1. OpenSSL Error messages: error:1407742E:SSL routines:func(119):reason(1070) in /home/orientaty/www/blog-wp/wp-content/themes/OR_v2/archive.php on line 41

    Warning: simplexml_load_file() [function.simplexml-load-file]: Failed to enable crypto in /home/orientaty/www/blog-wp/wp-content/themes/OR_v2/archive.php on line 41

    Warning: simplexml_load_file(https://blog-maisons-de-retraite.orientationretraite.fr/feed) [function.simplexml-load-file]: failed to open stream: operation failed in /home/orientaty/www/blog-wp/wp-content/themes/OR_v2/archive.php on line 41

    Warning: simplexml_load_file() [function.simplexml-load-file]: I/O warning : failed to load external entity "https://blog-maisons-de-retraite.orientationretraite.fr/feed" in /home/orientaty/www/blog-wp/wp-content/themes/OR_v2/archive.php on line 41

    Warning: Invalid argument supplied for foreach() in /home/orientaty/www/blog-wp/wp-content/themes/OR_v2/archive.php on line 43
Consultez le blog des maisons de retraite

Archive pour le mot-clef ‘ehpad alzheimer’

Alzheimer et l’anxiété de la personne âgée

mercredi 29 mai 2019

Selon une étude américaine, l’annonce du diagnostic Alzheimer n’augmente pas l’anxiété du patient
Les médecins ne devraient plus hésiter à annoncer un diagnostic aussi dramatique que celui d’une démence car, selon eux, non seulement l’anxiété des patients avertis n’augmente pas, mais ils se disent même soulagés de trouver une explication à leurs symptômes. En effet, l’étude, publiée dans le dernier numéro du journal de la Société américaine de gériatrie, mesure le niveau de dépression et d’anxiété deux jours avant et deux jours après un bilan et l’annonce du diagnostic. » Ce n’est pas une bonne nouvelle. Personne n’est heureux de découvrir qu’il est atteint de démence », explique Brian Carpenter, co-investigateur et professeur associé de psychologie à l’Université de Washington. « Mais certaines personnes sont rassurées de trouver une réponse à leur anxiété et à leurs problèmes, et de savoir qu’elles vont trouver de l’aide. »

Les médecins devraient livrer leur diagnostic aux patients en fonction du stade de la maladie

Selon les recommandations de pratique médicale en cours, les médecins devraient livrer leur diagnostic aux patients en fonction du stade de la maladie. Reste que l’analyse des études publiées depuis 1970 et jusqu’à très récemment fait apparaître que la moitié des médecins ne les appliquent pas. De l’avis de Scott Roberts, chercheur spécialiste de la maladie d’Alzheimer à l’Université du Michigan, qui n’est pas impliquée dans l’étude, les débats éthiques sur le droit des patients à l’information et la crainte que cette connaissance peut les ennuyer ne sont pas fondés. « Cette étude est intéressante parce qu’elle montre que la très grande partie de ces craintes paternalistes ne se retrouvent dans ces résultats », a-t-il souligné.

Au total, 90 patients et leurs soignants ont été interviewés deux jours avant l’évaluation, et deux jours après par téléphone.

 Leur niveau d’anxiété et de dépression ont été mesurés en fonction de leurs réponses à des questionnaires standards. En moyenne, tant pour les patients que pour ceux qui s’en occupent, les niveaux d’anxiété et de dépression étaient les mêmes avant et après l’annonce du diagnostic et avaient même diminué. Les chercheurs reconnaissent que leur étude présente des limites, et ils prévoient de mener des recherches supplémentaires pour étendre leurs investigations, notamment l’évaluation de ces deux paramètres un an après l’annonce du diagnostic.

Comment faire pour prévenir la maladie d’Alzheimer ?

mercredi 13 mars 2019

Consulter son médecin traitant régulièrement, contrôler son hypertension artérielle et effectuer un bilan sanguin une fois par an. En cas de troubles, le médecin pourra ainsi établir un traitement adapté.
S’efforcer le plus possible de réduire son stress quotidien : En, effet, la dépression, le stress et les chocs affectifs ne sont pas des éléments déclencheurs mais peuvent être des facteurs accélérateurs chez les personnes à risque.

Veiller à constamment améliorer son hygiène de vie

Exercices physiques, gymnastique douce et courte marche quotidienne s’imposent à tout âge ! Pratiqués trois fois par semaine, pendant 30 minutes, les exercices physiques ont un effet préventif prouvé. Ils retardent l’arrivée de la maladie d’Alzheimer et ralentissent son évolution. Mieux vaut à ce titre, courir que lire ! Manger davantage de légumes et de fruits riches en vitamine C et bêta carotène tels que les carottes, oranges, épinards, poivrons rouges, cresson, mangues et abricots.  Une étude menée par l’université allemande ULM et publiée dans le journal of Alzheimer’s disease, fait état de carences avérées en vitamine C et bêta-carotène parmi les patients Alzheimer. Ainsi, il apparait que le régime méditerranéen est toujours bénéfique : Cuisiner à l’huile d’olive et consommer à chaque repas des céréales, des légumes frais et secs, agrémentés d’ail, d’oignons et d’aromates en réduisant le sel, des fruits, des produits laitiers, des poissons gras riches en oméga 3, de la volaille, de la viande rouge à raison d’une fois par semaine seulement, restent des valeurs sûres, capables d’après des études américaines, de retarder la survenue d’Alzheimer et de ralentir le déclin cognitif.

Éviter au maximum l’alcool et le tabac !

Seul le vin rouge consommé avec modération, semble avoir des effets protecteurs sur les maladies cardiovasculaires. Un verre de vin rouge par jour permettrait également de retarder ou d’empêcher la perte de mémoire. C’est en tous cas la conclusion d’un essai clinique américain portant sur les bienfaits du resvératrol, cette substance que l’on trouve naturellement dans le vin rouge. Par ailleurs, la caféine, par ses effets stimulants a des vertus bienfaitrices sur les maladies cardiovasculaires, le diabète sucré, les cancers digestifs, la maladie de Parkinson et…Alzheimer !Les buveurs de café âgés de 50 à 70 ans, peuvent même espérer vivre plus longtemps, 10%  de plus environ, que ceux qui n’en boivent pas. C’est ce qui ressort d’un ensemble de près de 150 études publiées depuis le début de l’année, portant sur près de 400 000 personnes, et rendues publiques par l’Institut Américain du cancer.


Faire travailler le plus possible son cerveau

En lisant de préférence des sujets de lecture qui  intéressent – bien plus stimulants- Se familiariser avec internet car comme le souligne notre ministre chargée des personnes âgées, Michèle Delaunay : Effectuer des mots croisés, sodoku, et des parties de scrabble en famille ainsi que des jeux de société afin de joindre l’utile à l’agréable, permet de renforcer ses réserves cognitives et donc de retarder la survenue de la maladie.

5 conseils pour aidants Alzheimer

mercredi 17 octobre 2018

Il a été prouvé que s’adapter aux troubles d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer et miser sur ses capacités restantes est la bonne approche. En effet, elle permet de voir la personne derrière la maladie et apporte de nombreux bénéfices au quotidien. Voici quelques conseils qui peuvent vous y aider:

  1. L’effet miroir

Pour expliquer quelque chose à une personne atteinte d’Alzheimer, il est conseillé de faire les gestes appropriés. par exemple, pour lui signifier qu’il est l’heure de prendre son repas, vous pouvez prendre les couverts en main et vous installer pour manger. Normalement, la personne malade vous imitera de façon naturelle.

2. Etre bien informé sur la maladie d’Alzheimer

Pour mieux comprendre votre proche, il est primordial de bien connaître les particularités de la forme de démence dont il est atteint. Cela vous permettra de mieux réagir face aux troubles associés à cette pathologie. Assister à des formations pour aidants Alzheimer peut également vous apporter beaucoup.

3. Bien choisir ses mots

Dans certaines situations comme le moment des soins ou de la toilette, le choix des mots avec lesquels on s’adresse à la personne malade revêt une importance capitale. Par exemple, demander « voulez-vous m’aider » sera plus efficace et mieux accepté par le malade que l’affirmation « je vais vous aider ». Effectivement, cette dernière formulation pourrait heurter l’estime de soi de la personne aidée.

4.  Ne pas se substituer à la personne malade

Parfois, par souci de gain de temps, l’aidant a tendance à faire les choses à la place de l’aidé. Pourtant, il faut absolument s’en empêcher car cela peut provoquer chez le malade, de la contrariété, des réactions violentes ou bien dans certains cas le pousser à la passivité et à la déprime.

5. S’efforcer de comprendre ses besoins

Mieux comprendre les besoins de la personne malade: être rassuré, garder ses repères… permet de trouver des solutions pratiques et pas forcément médicalisées. Ceci lui facilitera la vie ainsi que celle de l’aidant.

Selon Nicole Poirier fondatrice de la maison Carpe Diem pour malades d’Alzheimer, au Québec :« Il est essentiel de ne pas disqualifier une personne si elle n’a pas de mots pour s’exprimer sous peine de générer de l’agacement, de la frustration. »