Une maison de retraite pour animaux ! Non ! ce n’est pas une blague ! Ni même une utopie. C’est la simple réalité, une réalité qui a pu être possible grâce à l’acharnement de Mr Charles Meurie et toute son équipe.
Une maison de retraite pour animaux ! Non ! ce n’est pas une blague ! Ni même une utopie. C’est la simple réalité, une réalité qui a pu être possible grâce à l’acharnement de Mr Charles Meurie et toute son équipe.
La tendance du moment est de passer au vert. Non, nous ne traiterons pas mode aujourd’hui mais bel et bien écologie.
Tout le monde essaye, à son échelle, de rendre le monde qu’on lui a donné meilleure, de façon à ce que l’héritage de nos enfants soit meilleur que ce qui nous a été légué.
L’environnement était un luxe, un problème de bourgeois il y a quelques années. Alors que certaines personne se battaient pour donner à manger à leurs enfants, d’autres se penchaient sur les problèmes de déforestation et leurs seules préoccupations étaient de ne pas abîmer la nature.
Pourtant aujourd’hui, c’est différent. Tout le monde se sent concerné par la santé du monde et veut la préserver aussi longtemps que possible. Ce sont les ouvriers, les ménagères, les chefs d’entreprise, les directeurs d’école, le personnel des hôpitaux et également les directeurs de maisons de retraite.
Depuis 2004, le lundi de Pentecôte, n’est plus un jour banal. Il a, depuis huit années déjà, le statut de la journée de la solidarité.
Qu’est-ce que cette journée ? Qu’a-t-elle apporté ? Et comment est-elle perçue ?
Un diagnostic de maladie d’Alzheimer, comme toute autre maladie apparentée, représente un choc pour la famille. L’annonce tombe brutalement sans supposition. C’est sûr et irrévocable.
A partir du moment où le médecin donne son verdict, la vie de cette famille bascule. La personne aimante et souriante, devient agressive et brutale. Alors qu’elle aimait tellement recevoir ses petits enfants, elle se transforme en l’espace de quelques semaines en un monstre dépourvu de sentiments.
La maladie d’Alzheimer ne fait pas de cadeau et aussi forte soit la volonté de la personne malade de se battre, elle ne parviendra pas à se débarrasser de cette maladie ainsi que de tout son lot d’effets néfastes. Il parviendra tout au plus à freiner l’évolution et à rendre la chute moins brutale, mais malheureusement chute il y aura.
Si les enfants ont tendance à trop parler et à vouloir se mêler de tout, les personnes âgées c’est le contraire. Au fil des années, l’individu prend conscience de la portée de ce qu’il dit, il réfléchit de plus en plus, et devient un être empreint de responsabilité.
Il sait qu’on ne peut pas tout dire, n’importe où à n’importe qui. Il faut savoir jauger la sensibilité de son interlocuteur et jauger également du poids d’un mot.
Lorsqu’on veut exprimer une satisfaction, ou une fierté, une liste d’expressions est appropriée, lorsqu’on veut montrer son mécontentement ou voire blesser verbalement une personne volontairement, on utilisera d’autres mots prévus à cet effet. Ce qui prouve combien un mot, une phrase peuvent être importants et peuvent changer une relation ou même une vie de façon radicale.
D’où l’importance de se battre pour que la personne âgée continue à s’exprimer et à dialoguer avec les personnes de son entourage.
Attendu avec la même appréhension que les résultats d’examens, le guide de la dépendance fait toujours le même effet à sa publication. A peine le livret entre les mains, les feuilles volent, on cherche sa résidence, on ne trouve pas, on parcourt de nouveau, on demande de l’aide, et puis le verdict tombe. Déceptions, énervements, sentiments d’injustice ou au contraire délectation, les directeurs des maisons de retraite lisent et relisent les commentaires écrits sur leur service, leurs prestations, leur bébé en somme.
Pour Nellie Pépin, la jeune directrice de 30 ans de la maison de retraite Saint Maur, à la Madeleine, le compte rendu est plus que plaisant. L’année 2012 sera synonyme pour elle de réussite et de reconnaissance. Avec une note de 9/10, elle se classe dans les sept meilleures maisons de retraite de la métropole lilloise.
Elle nous confie son émotion et sa satisfaction.